«Parfois, les obstacles sont trop hauts et on vient les percuter ou on trébuche en essayant de les franchir.» Aya Sabi pèse et soupèse ses mots, mâche et remâche les textes qu’elle rédige dans une langue qui n’était pas celle de son grand-père. Elle n’a ni le nom, ni la couleur de peau qu’il faut pour appartenir au cercle des privilégiés.
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